Beauduc n'apparaît sur aucune carte, mais chaque été, ils sont des milliers à rejoindre ce finistère en Camargue.
Une terre de sel et de sable où s'enfuit une piste à peine carrossable.
Tout au bout, les flamants roses, les taureaux de combat et les chevaux camarguais partagent le Parc Naturel avec quelques hommes, sédentaires et inspirés.
Installés au bout du monde, en marge d'une société trop pressante, les Beauducois vivent comme des robinsons, sans eau courante ni compteur électrique.
Une vie simple emprunte de liberté. Une autre société entre nature et culture construite en toute illégalité.
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