Surnommé « Rustine », le canoë en toile des deux biologistes a plusieurs fois été percé durant leur navigation. « À cause du faible niveau d'eau de la rivière dû à la sécheresse, nous avons souvent fait face à des parties de Loire où les rochers menaçaient l'embarcation. La plupart du temps nous avons réussi à les éviter mais il est arrivé que certains nous échappent et percent la toile. Il suffit d'un trou de la taille d'un petit doigt pour que le bateau prenne l'eau. Heureusement, on a toujours réussi à revenir au bord pour reboucher le trou », raconte Barbara.
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