« Une dizaine de nœuds de vent arrière nous poussent souplement dans le dédale des montagnes et des volcans.
Sous nos ailes, nous repérons toujours des lacs sur lesquels – nous l'envisageons – il serait possible d'amerrir en urgence.
La route n'a pas été si mal choisie, puisqu'à cet endroit de la cordillère, les cols sont suffisamment bas pour nous permettre de passer sans oxygène, » rapporte Adrien.
A l'est du volcan Tronador, Argentine.
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