Acclamés mais rejetés, les cirques itinérants du Bangladesh sont sur le point de disparaître. Le plus grand d'entre eux, le Lion Circus, ne regroupe plus que 70 saltimbanques et techniciens. Vivant de leur art au gré des villes qui les accueillent, ces artistes enchanteurs sont boudés par les jeunes générations. Face à la ségrégation sociale qui s'accentue en Asie du Sud, les circassiens ont pourtant encore un rôle à jouer.
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