Massou Gargalo, 50 ans, découpe à la hache le bois qu'elle est allée ramasser autour du camp. Elle le vendra ensuite par fagots le long de la route nationale qui traverse le camp, au prix de 150 birrs (2,5 euros) pièce.
Leurs bêtes sont mortes et leurs maisons cadenassées. Le peuple borana, au sud de l'Éthiopie, essuie une violente sécheresse qui sévit depuis 2020.
Camp pour personnes déplacées de Dubuluk, Éthiopie
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