Une fois les collectes de « vrac » tamisées, une course contre la montre s'enclenche pour identifier les espèces le plus vite possible afin de préserver la qualité de l'ADN. Première étape : le tri des grosses fractions. On sépare les organismes par grand groupe taxonomique. Les coordonnées géographiques sont contenues sous la forme d'un « code station » qui est écrit sur des étiquettes dans chaque coupelle de tri, et qui suivra chaque spécimen jusqu'au bout du processus.
De gauche à droite : Tatiana Gauche, Riccardo Virgili, Gabin Droual, Michel Le Quément, Alice Leblond, Benjamin Girard.
Le programme ATLASea vise à séquencer le génome de 4 500 espèces marines du littoral français.
Ille-et-Vilaine, France
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