« Pour le moral en expédition, il est primordial de bien manger et de se faire plaisir », explique Barbara. « Et pour être raccord avec nos convictions et face au dérèglement climatique, nous avons choisi d'être végétaliens », précise Julien qui essaye d'utiliser le moins de plastique possible.
© QUENTIN HULO / AGENCE ZEPPELIN
|
|
Chaque journée se termine de la même manière : Julien et Barbara travaillent dans leur tente jusqu'à parfois 1 heure du matin. Il faut répondre aux mails reçus durant la navigation, alimenter le blog de l'expédition, trouver les passages les plus navigables de la rivière, organiser les prochaines escales et rencontres.
© QUENTIN HULO / AGENCE ZEPPELIN
|
Après le petit-déjeuner, Julien nettoie la vaisselle avec l'eau de la Loire. « Je déverse l'eau de lavage à plusieurs dizaines de mètres du fleuve, pour que le sable et la végétation puissent filtrer le savon, les huiles, etc. Même bio, même avec très peu d'ingrédients, le savon peut affecter l'eau et sa qualité. »
© QUENTIN HULO / AGENCE ZEPPELIN
|
|
Durant leur expédition, les deux biologistes consomment littéralement la Loire. À l'aide d'une poche filtrante, ils assainissent l'eau pour la boire directement. « Ça évite de charger des provisions d'eau, et ça nous permet de ne pas recourir aux bouteilles en plastique », précise Julien.
© QUENTIN HULO / AGENCE ZEPPELIN
|