« A l'avenir, les éleveurs resteront en bas. Ils feront manger les prés et achèteront du foin.
Ils diminueront la taille de leurs troupeaux et valoriseront mieux la viande [vente directe de fromage et charcuterie, ndlr]. Sur mon alpage, il ne faudra plus que 300 brebis laitières, transformer le lait et vendre le fromage là-haut. On a plus de 1000 personnes qui passent chaque jour, » prévoit Jean-Luc.
Le loup franchit le seuil de viabilité en France. Quelles actions sont mises en œuvre face au mystérieux prédateur ?
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