Saint-Pierre-d'Eyraud, Dordogne, France, le 22 novembre 2021.
Dépouillés de leurs feuilles, les pieds de tabac sont évacués pour être broyés, puis utilisés comme fertilisant dans les champs. « Aujourd'hui ce reliquat n'a encore jamais été réellement valorisé, explique Éric Escupeyrat, mais j'aimerais pouvoir le recycler pour en faire de l'énergie via de la méthanisation. »
Cette année-là, suite à la fermeture de l'usine de tabac à Sarlat, le GAEC Escupeyrat Frères est contraint d'effectuer sa dernière récolte dite « classique », avec un tabac destiné à la consommation de cigarettes et cigares, pour les pipes et les chichas, à chiquer ou à priser.
|