[Patergassen, Carinthie, Autriche]
Robert sculpte un bloc de pin noir d'Autriche. « À 14 ans, j'ai réalisé mes premiers masques en papier mâché pour effrayer les gens. À 16 ans, j'ai commencé mon apprentissage de sculpture sur bois, avant de développer ma propre technique pour mieux représenter toutes sortes d'expressions. »
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[Patergassen, Carinthie, Autriche]
Sculpteur renommé, Robert Mitterer choisit les yeux de son prochain masque. Il dispose d'un grand choix d'yeux en verre qu'il a achetés dans le commerce ou qu'il a fabriqués sur place. Des LEDs de couleurs sont également utilisées pour illuminer les orbites du masque dans la nuit.
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[Patergassen, Carinthie, Autriche]
Robert installe une dent en résine sur un masque en bois. « Dans mon enfance, Krampus et Perchten étaient plus rudimentaires. En Carinthie, c'est à partir des années 1990 que la fabrication des masques a évolué. On est passé des masques de Perchten, très imposants, à ceux des Krampus, plus petits et agressifs. »
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[Patergassen, Carinthie, Autriche]
Robert consulte un bon de commande avec les requêtes du client. Chaque année, il conçoit environ 150 masques qu'il vend entre 700 et 1500 euros la pièce en Autriche, en Italie, en Slovénie et en Allemagne. Fort de son succès, il emploie trois assistants pour répondre à une demande toujours plus forte.
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