Moorea : l'ananas sous pression [Polynésie française]

Gaston Hanere, agriculteur à la retraite, pose devant sa maison. C'est un bâtiment simple, fait de matériaux légers et sans isolation. « Il suffit de deux hectares pour qu'une culture d'ananas soit rentable », indique Xavier Lopez, enseignant d'horticulture au Lycée agricole d'Opunohu. « Avec deux hectares, on peut se dégager un salaire de 200 000 francs Pacifique (1680 euros). Mais en dessous c'est plus dur », prévient l'expert qui connaît bien les charges d'exploitation. En 2024, le SMIG en Polynésie française s'élève à 1227 euros net.

Moorea, Polynésie française
17°29'23''S 149°49'44''W

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	Gaston Hanere, agriculteur à la retraite, pose devant sa maison. C'est un bâtiment simple, fait de matériaux légers et sans isolation. « Il suffit de deux hectares pour qu'une culture d'ananas soit rentable », indique Xavier Lopez, enseignant d'horticulture au Lycée agricole d'Opunohu. « Avec deux hectares, on peut se dégager un salaire de 200 000 francs Pacifique (1680 euros). Mais en dessous c'est plus dur », prévient l'expert qui connaît bien les charges d'exploitation. En 2024, le SMIG en Polynésie française s'élève à 1227 euros net. Moorea, Polynésie française 17°29'23''S 149°49'44''W
© LIONEL CUVEILLER / AGENCE ZEPPELIN